SUCCUBUS - Nouveau single de ODA

Laissons-nous succomber au charme du Memento Mori de Oda avec SUCCUBUS dont le regard pourra nous faire fondre de plaisir avant que celui-ci dévore notre for intérieur !

ALEA JACTA EST ! il est en ainsi… ODA attise et anime la silhouette de SUCCUBUS en lui consacrant une composition, en la faisant se mouvoir autour de nous, dans notre esprit aidée de mots plaisants et démontrant la fascination pour cet être mythique.

ODA est un trio composé de Cyril, Thomas et Emmanuel. Ce jeune trio formé en 2021 trouve son destin lié dorénavant par cette aventure nommée ODA qui a enregistré son premier album fin 2023, album qui sortira le 11.10.24 sous le nom de BLOODSTAINED. SUCCUBUS est issu de ce premier futur Album.

SUCCUBUS se présente à nous avec ses yeux et son aura densément enivrant et pesant, les voix sont profondes et proviennent comme d’un arrière plan laissant la part belle aux guitares charmeuses, stoneuses à souhait, il ressort de ce titre un romantisme noir, comme un vortex à la fin tragique, l’amour a aussi ses quatre saisons, et plus de raisons encore, SUCCUBUS traduit la dimension dramatique de cette expérience humaine qui n’en demeure pas moins ici élevée par ODA au stade du mythe avec cette partition aux contours ascensionnels et célestes.
ODA baigne dans un univers où le heavy se veut planant, les airs de SUCCUBUS nous emportent à la croisée d’un Stoner évident et de touches de Doom vers lesquelles ODA semble attiré comme aspiré, on retrouve dans ce premier single et extrait de ce premier opus des atours proches de MONOLORD, voire de STARMONGER, de SLOWBOT côté scène française, SUCCUBUS reste une invitation à des noces de cendres, comme descendre le compte à rebours de l’inexorable et inévitable Memento Mori credo de ce trio ODA qui arrive à nous faire passer la pilule notamment avec des riffs et un fuzz de talent, mais aussi des solos de guitare dont le vibe ZEPPELIN n’est pas très loin, une manière de succomber plus facilement au charme de SUCCUBUS dont on aura hâte de croiser le regard dans la pénombre, d’une salle de concert, un regard comme un voyage aller sans retour, parce que parfois l’au-delà n’est pas comme on le croit…