EXCLUSIVITE - Live session de L'ORCHIDEE COSMIQUE

Pléïade à 3 morceaux, virée cosmique, tellurique sans toucher terre, vibrant comme des ondulations magnétiques venues du confins de l’univers là-même où l’imagination a précédé les premiers pas de l’homme, RADIO WAVE nous fait décoller et voyager, dans une navette nommée L’ORCHIDEE COSMIQUE.

L’ORCHIDEE COSMIQUE a pour seul capitaine de bord, Florian Pichollet, originaire de Chambéry, son Cap Canaveral de coeur, c’est un One Man Band, un chef des manettes, oeuvrant sur son tableau de bord et ses appareils de prédilection telle sa Jazz Bass, ses synthés et ses pédales comme un magicien capable de prouesses, ingénieurà sa façon et créateur de programme oscillant entre la réalité carthésienne et la science-fiction de Kubrick.

L’ORCHIDEE COSMIQUE en passe de trouver sa voie Lactée, de nous fondre dans sa propre Galaxie non répertoriée à ce jour et que nous découvririons avec lui, comme des pionniers, une Galaxie méritée et nommée L’ORCHIDEE COSMIQUE.

Cette Galaxie relatée dans cette session magistrale, est un volet à trois tableaux, une encyclopédie d’émotions, vécues ou imaginées, retranscrites dans une partition comme un héritage que l’on laisserait après son passage sur Terre. RADIO WAVE est comme un message à la fois porté par une sonde spatiale mais il est aussi un message que l’on perçoit dès lors que notre sensibilité soit dotée de capteurs sensoriels dressés sur nos têtes comme des paraboles, simplement nos oreilles rêveuses regardant un ciel étoilé et laissant le songe imaginé ce que L’ORCHIDEE COSMIQUE semble nous rapporter dans cette session live de trois titres.

Un triptyque où NEON ouvre le bal avec cette intensivité grésillante s’apparaîssant à la réglette d’un transistor PO/GO ou FM recherchant une fréquence, un signe de voix, de vie. NEON grésille également de ce bruit de lumière qui nous met en partie sous tension avec cette appréhension d’ampoule qui nous lâche, nous précipitant dans le Noir. Le Noir qui attire inexorablement, comme un Trou Noir, un vortex de nulle part mais bien présent, ce que ce premier titre inspire sous une basse lourde, telles les ondes émanant des bass line de DEATH FROM ABOVE voire de TOOL mais aussi de ALBER JUPITER. NEON donne du corps, c’est Freez’onnant, le final et la transition vers ISS Communication second volet, nous assomme de bass vibes, on adore ça…

On entre dès lors une phase d’embrace (d’enlacements, d’étreintes) comme si on vivait nos derniers instants où si on allait découvrir ce qui se passe après l’inconnu succédant à nos existences. ISS Communication, c’est l’USS Enterprise, et Houston ne répond plus. Ici même la Galaxie de L’ORCHIDEE COSMIQUE s’étend encore plus, débute l’expérience sonore au sens noble et large du terme, on flotte laissant le Monolithe de Stanley Kubrick loin derrière nous, impossible de revenir pour autant notre odyssée poursuit son aventure comme si L’ORCHIDEE COSMIQUE n’avait pas dévoilée encore tous ses projets et secrets de sa feuille de route. Le 3e volet et non des moindres clôture en douceur ce tableau dévoilant le potentiel créatif de L’ORCHIDEE COSMIQUE, on empreinte alors LA ROUTE DE LA FORET comme l’aboutissement d’un projet hallucinant en alunissant d’une certaine manière dans une aire boisée et aux contours terrestres comme un retour aux sources, à une certaine genèse, une invitation à nouveau départ avec des sensations de plénitude, de murmuration suggestives avec ces champs d’oiseaux, et d’apaisement riches de nos expériences passées ou de cette traversée de l’Univers de L’ORCHIDEE COSMIQUE.

La dimension de cette session ne peut se résumer à quelques mots, à une chronique, ELLE est à vivre purement et simplement en live, en scaphandre de cosmonaute ou non, à venir comme vous êtes pour peut-être repartir différent ou différente. Cette live session de 3 titres est orchestrée de mains de maître, prouesses rares, Jarrissime, proche de SIERRA, elle est une oeuvre magistrale, un morceau de vie terrestre avec une destinée stellaire mis en avant avec passion par Sacha Besson de TubeCult Mastering, aidé de Jordan au Mix et sous l’oeil de (Karl) de Antoine Pyllemi dans un décor de scène au Studio La Soierie, le chef d’orchestre étant Florian Pichollet oeuvrant sous le nom de L’ORCHIDEE COSMIQUE.

Cette session live de 20 minutes, sort le 18 octobre officiellement, vous pourrez la retrouver en K7 avec Matière Super, et en 2025 en vinyle chez Urgence Disk.

On aura hâte de voir en live l’expérience L’ORCHIDEE COSMIQUE, qui débutera sa tournée le 19.10.24 par La Coutellerie à Fribourg, passera par Le Cirque Electrique à Paris le 23.10.24 et sera de retour à Chambéry au Brin du Zinc le 07.02.25, à consulter la totalité des dates de cette tournée sur les pages réseaux de L’ORCHIDEE COSMIQUE.