I WANT PLUTO TO BE A PLANET AGAIN – Nouveau clip de DIAMOND DOG sorti le 03.02.2023.
DIAMOND DOG y va de son crescen’dog avec un nouveau titre I WANT PLUTO TO BE A PLANET AGAIN, nous rendant encore plus impatient.e.s de découvrir leur 1er album USUAL CHRONICLES, qui sortira le 31 mars 2023.
I WANT PLUTO BE A PLANET AGAIN, quand le 4e art rend hommage au 7e art, quand la passerelle de deux écritures sensibles, réalistes et artistiques se rejoignent…
I WANT PLUTO BE A PLANET AGAIN est à son origine un court métrage réalisé en 2016 par Marie Amachoukeli et Vladimir Mavounia-Kouka. Un court métrage où les ondes et mondes se séparent entre des H- et H+, où les « H’apparences » pour les uns ne suffisent pas d’elles-mêmes à se séduire ou séduire « H’autrui ». Un court métrage dont le H’appy End semble prendre l’apparence de ce single et clip de DIAMOND DOG qui permet de poursuivre ce court-métrage avec ce tempo apaisant, envoûtant et électrisant.
I WANT TO BE A PLANET AGAIN est un titre qui résonne, vibre, avec cette sensibilité aux inspirations new wave de la fin des années 70, avec cette ambivalence cultivée entre ce côté impassible, voire froid, de BILLY IDOL et cette wave, humaine, chaude, undergound puisée aux sources de la Porte de Brandebourg, Mais également, cette ambivalence visuelle dans ce noir et blanc de ces visages, ceux des membres de DIAMOND DOG, qui se présentent comme lunaires avec ces faces tantôt cachées tantôt visibles. Le clip a été réalisé avec la participation d’Andrea Chapo adepte entre autres du GLITCH ART, ce qui correspond parfaitement à la dimension du titre, jouant et bénéficiant ainsi d’effets glitch, pour brouiller les pistes, comme si nous devions faire appel à Rod Sterling pour venir régler nos écrans, voir dans ses bugs de programmation, des prises de conscience, des évidences coincées entre deux mondes, celui des H- et H+.
DIAMOND DOG soigne sa composition avec cette partition très prenante, avec un réverb’ aux sonoirités parfois indus, un tempo punk cadencé poussant à se laisser entraîner. Ce titre est aussi intrigant, voire fantastique, l’ambivalence prend aussi cette apparence à la Stephen King, un peu Stanley comme l’hôtel, un peu Kubrick avec cette impression de huis clos, de dance-floor que l’on peut ressentir dans la salle de bal d’un autre monde parallèle comme celui de l’Hôtel du film SHINING.
Avec I WANT PLUTO BE A PLANET AGAIN, DIAMOND DOG synthétise son apparence autant que les ondes bien inspirées de ce beau titre, mais ne synthétise pas son Univers, qui lui est bien en totale expansion.